Les longues marches de l’opposition belliqueuse nous menaient où ?

Faut PAS cracher en l’air dèh !

Certains  opposants guinéens (Sydia alias ‘’ton pied mon pied Conté’’, Bah Oury  …, et d’autres sociétaires de Pöttal), cherchent à instaurer l’anarchie et le chaos en Guinée, et  ce n’est pas l’expérience qui leur en manque, depuis plus de cinquante ans d’activismes … !

N’est-ce pas déjà ce patron de l’UFR (qui ferait passer la mafia albanaise pour des enfants de chœur), qui avait poussé des femmes sous le régime de la transition, à marcher dans les rues de Kaloum, en  abreuvant le Général Konaté de tous les noms d’oiseaux, assortis de qualificatifs des plus humiliants ?

CDD, à ses côtés, (et comparé à Bah Oury de la nébuleuse Pöttal), passe au mieux pour une petite gazelle craintive, au pire pour un perroquet en présence d’un chat sauvage ! Monsieur Touré par contre, est de la catégorie des gros sauriens des marais infestés de bestioles, où seuls des hippopotames règneraient en maîtres.

Le crescendo de leurs agitations extrémistes,  accompagnées d’offensives médiatiques assourdissantes (qui ne trompent plus personne sur la Planète), a produit en Guinée une véritable SOUS-CULTURE de la CONSPIRATION,  portant au comble les méfiances et les confusions dans nos cités naguère unies (comme les doigts d’une main) et très soudées avant 1984.

Il faut ajouter à tout cela, les calomnies et les tentatives incessantes d’intoxications des opinions nationales et internationales, par des rumeurs toujours plus folles, et des mensonges dignes du grand maitre Joseph Goebbels, dont les  techniques de manipulations des masses, avec l’explosion des médias, avait fait passer la propagande du stade artisanal au stade industriel.

Des mineurs (15 ans) de nos jours, sont souvent des colosses capables de porter un adulte au dos, pour aller jouer au foot ou au basket et lorsque quelqu’un (force de l’ordre ou simple citoyen lambda) doit en affronter un, de surcroit armé au minimum de cailloux … !! Hum ?

Certains, plus ‘’petits’’ mais  plus lestes, provoquent, et disparaissent dans les quartiers… et lorsqu’ils sont repérés dans des arrière-cours (où ils se planquent), leurs complices adultes (avec d’autres qui les manipulent), crient au viol lors des arrestations car, laissés libres, ils réapparaissent plus tard pour faire pire.

Nous sommes donc en Guinée :

I - dans l’univers du mensonge stratégique, où les médias  sont au service de la manipulation des masses et où la parole est manipulatoire ;

II – à l’ère où, en psychologues spécialisés, les opposants historiques ayant compris depuis des décennies que les foules sont dotées d’une sorte d’’’âme collective’’ qui rend les individus qui les composent particulièrement crédules et influençables… , agissent conséquemment pour mieux  ‘’soumettre’’ leurs cibles au viol de  foules, par la propagande politique.

III – à une époque où les empêcheurs de tourner en rond,  appliquent des techniques de propagande :

1-à la manipulation des affects (comment faire accepter un message en jouant sur la séduction, la PEUR surtout dans le cas guinéen, etc.) ;

2-à la manipulation des raisonnements (les arguments d’autorité, de cadrage ou d’analogie sont autant de pièges tendus au récepteur).

La propagande de Goebbels (sous Hitler), a été l’une des armes de guerre les plus efficaces de l’Allemagne nazie.

Deux ‘’petits’’ exemples d’élucubrations de nos mythomanes guinéens :

a) Bien avant l’arrivée du Professeur à la tête de la Guinée, Monsieur Lamarana Petty Diallo, écrivait déjà le 18 Novembre 2010 : «Un génocide peulh est en cours Guinée ».

Aujourd’hui 11 Mai 2015, je viens de lire un énième texte de La  Commission Centrale de POTTAL-FII-BHANTAL Fouta-Djallon : « Communiqué de soutien de Pottal-Fii-Bhantal Fouta-Djallon à la Coordination Haali-Pular de Guinée » et chaque ligne, ne contient que les mêmes affabulations !

A la différence du sieur Gassama, j’ai renoncé depuis belle lurette (sans complexe ni scrupule), à l’impartialité de Spinoza (traité politique).  Je n’ai que mépris, dans le domaine de la géométrie politique, là où  Spinoza ‘’prendrait’’  grand soin de ne pas tourner en dérision les actions humaines, de ne pas les déplorer ni les maudire, mais de les comprendre.

b) Je ne puis donc, composer avec  la mauvaise foi qui (comme disait quelqu’un), si elle pouvait produire de l’électricité, aurait largement fourni de quoi éclairer la lanterne de nos conquérants anachroniques,  qui ne comprennent toujours pas que les partisans du Père de notre Indépendance, sont des guinéens à part entière, indéboulonnables et de plus en plus nombreux, et qui ne cèderont JAMAIS.

Il  faudra donc faire avec eux et je conseille d’en finir avec les mensonges et intoxications devenues flagrantes, après toutes les révélations et publications sur Sékou Touré et le premier régime ! Par exemples :

1) Il est grand temps de fournir la liste des cinquante mille morts du camp Boiro, estampillée par Amnesty, sachant que cent dix-sept personnes en tout ont péri entre 1958 et 1984 ;

2)  Il est mathématiquement impossible, qu’il y ait eu des millions de morts à nos frontières sous le premier régime, avec une population totale d’environ douze millions en 2015, population qui n’était que seulement deux petits millions ‘’environ’’ pour toute la Guinée en 1958.

Refaites les calculs, même avec un taux supérieur à 2,8%/an, sachant que Conakry, à la même époque de l’indépendance,  comptait au total justement cinquante mille habitants.

Souhaitons donc le tarissement des élucubrations, relayées tous les jours par les médias de Conakry, sur une supposée dictature sanglante et un génocide ciblé, avec des viols sélectifs perpétrés par Alpha Condé, sous le nez de plusieurs centaines de diplomates accrédités en Guinée, pays où vivent également des milliers de ressortissants étrangers…

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