Ces docteurs et autres endoctrineurs de haine!
A force de diaboliser son prochain, ne devient-on pas démon soi même ? Qui plus est, un démon aliéné et dangereux.
C’est en tout cas le triste sort qui arrive au groupe d’ethnocentristes tarés, qui pullulent et polluent le Net de leurs vomissures puant de haine.
N’allez surtout pas imaginer que ces empotés ne méritent aucune réponse ! Comme ils deviennent de plus en plus nombreux, il faut empêcher qu’ils atteignent le seuil fatal de nuisance, ou bien c’est la Guinée qui périra.
Appuyer sur la sonnette d’alarme est donc devenu un devoir impérieux. Il permet de démasquer et déloger ces imposteurs fougueux et déréglés, qui sont prêts à tout pour bruler le pays, tant que leur objectif égoïste et antinational n’est pas atteint. On peut déjà se réjouir que la riposte encore timide de guinéens épris de paix, commence à désorienter ces zinzins politiques, qui pensent avoir le monopole de la parole.
On ne va pas citer tout le monde mais pour les besoins de la cause, il faut tirer un échantillon du lot. Tenez-vous bien, ces pauvres types ont plus ou moins un demi-siècle de vie. Mais étrangement, ils n’ont pas honte de clouer au pilori toute personne qui ne se fait pas dans leur logique de mensonge et de haine de tout ce qui ne leur ressemble pas. Voila pourquoi tout contradicteur de leur pensée unique est couvert de diatribes et d’invectives, à défaut d’être décapité à coup de sabre et de coupe-coupe.
C’est comme si on vivait encore dans une Afrique moyenâgeuse, ou chez les méchants et barbus talibans, où tout contradicteur de la pensée unique s’expose à des sanctions criminelles. Mais nom d’une pipe ! Que faut-il pour que ces gens se mettent dans la caboche que la démocratie, c’est aussi la diversité, le respect de l’existence et de la pensée des autres. Seigneurs ! Qui sont donc ces gens ?…
1) Le toubib aux lorgnettes ridicules du moyen âge. Il est celui-là même qui aime à singer sans aucun gène, l’ancien maitre de la métropole, pour se donner des airs du grand monsieur, qu’il ne pourra jamais être. Si l’imbu, le pédant, est aujourd’hui libre, il est surtout très ivre de la liberté d’expression, au point d’être amnésique du fait que, n’eut été l’action de celui dont la réhabilitation posthume lui donne des insomnies, il serait encore un homme non affranchi du joug de l’esclavage. En effet, d’un noir d’ébène, son teint renseigne à plus d’un titre, sur le rang social que devait occuper ses ancêtres à l’époque précoloniale, dans une partie de ce qu’il appelle maintenant son pays natal. En ces temps-là, il fallait pour se réclamer d’une certaine hiérarchie sociale, être d’un certain poids corporel et d’un certain teint (clair).
Personne n’ignore qu’en Afrique médiévale et même aujourd’hui, dans certaines contrées Africaines, les différents niveaux de coloration de la peau au sein du grand groupe des hommes de couleurs (selon la terminologie occidentale), servaient à classifier les ethnies. Cette politique a été derechef en vogue avant de disparaître sous Maadiba au pays de l’arc en ciel. Plus on était sombre de teint, moins on était socialement noble. C’est comme au temps du 3ème Reich où une certaine race, encore plus blanche, était symbole de suprématie (jamais démontrée en dehors du critère de l’esthétique).
Comprenez-vous alors que rien que le teint du négrillon européanisé aurait suffi à l’affecter, tel un intouchable, à une catégorie sociale au plus bas de celle des hommes clairs, si notre pays n’avait pas connu cette révolution sociale ! Tenez-vous encore, ironie du sort, notre toubib vit chez les toubabs ou il est le grand bénéficiaire des vertus de l’abolition de l’esclavage.
Mais, l’ironie n’est pas finie. L’affranchi passe tout le temps à fureter le net, tel un adolescent du bled non encore initié, à la recherche de prototypes pour caricaturer (ce qui dans certaines limites, n’est rien en soi), et plus grave, pour insulter ses ainés, dont nos sœurs au sens social du terme, sont devenues des cibles attitrées. Le plus curieux est de voir ce rigolo défendre la pratique qui assujettissait ses ancêtres et pourfendre sélectivement son bienfaiteur. Honorer son maitre esclavagiste et maudire son libérateur, appelle-t-on cela le syndrome de Stockholm comme l’a une fois utilisé, dans un autre texte nauséabond, un de ses coreligionnaires :
2) un autre malade que la nostalgie de la même époque et la haine du même libérateur ont perdu. Cet autre ethno qu’un séjour trop prolongé de l’autre coté de l’océan a déchu le rêve d’être un vétérinaire de son Etat. Et depuis il ne cesse de prendre les membres politiques d’une même entité ethnique pour la cause de ses frustrations mal contenues. Mais ce quinquagénaire qui apparaît jeune sur l’effigie qu’il fait circuler sur le net est encore plus incohérent et plus taré. Il a la manie de tout voir, et de tout apprécier au travers du prisme de l’ethnie. Il perd progressivement la raison et à cette allure, on craint que ses plus vieux jours ne soient assurés dans un asile de dérangés mentaux. Il s’attache à démontrer vainement que les siens plus intelligents, plus prospères, plus organisés et plus glorieux au plan historique, font l’objet d’un complexe d’infériorité de la part d’autres groupes ethniques.
Sur la même lancé, il y’a
3) un autre toubib dont la haine et le complexe vis-à-vis d’une ethnie sont si grands qu’il faut craindre qu’il ne foule le serment d’Hippocrate en présence d’un membre de la communauté qu’il confond dans sa haine. Attention il peut être un autre Harold Shipman, un ‘’brillant’’ Médecin qui a passé des décennies à tuer volontairement des patients, avant d’être démasqué.
La spécialité de notre toubib est la calomnie, le mensonge et l’incitation à la haine.
Une seule communauté de son pays est prise pour cible dans ses attaques dignes d’un homme qui caresse la théorie des ethnies, calquée à la théorie des races des Nazi. Attention là aussi ! IL ne suffit pas de porter la blouse dans un pays développé pour être sain d’esprit. Imaginez un peu le sort des Nko si cet homme servait à l’hôpital Ignace Deen de Conakry ! Après tout, il a fallu du temps pour qu’on démasque Harold Shipman.
Il y’a encore pire. Il s’agit
4) d’un autre noir bon teint. Lui et son archi-ennemi se ressemblent comme deux gouttes d’eaux, au point de vue visage, teint et regard perçant. Selon certaines indiscrétions, il serait le rejeton non reconnu de l’homme détesté. Et Dieu sait qu’un enfant non reconnu peut haïr son père. S’il y’a ressemblance entre le fils et le soit disant père, les deux ne peuvent être logés à la même enseigne. Ils sont diamétralement opposés au point de vue caractère et éducation. L’un est un pauvre minable qui passe son temps à jeter ses déjections mensongères et ses insultes envers toute personne qui ne pense pas comme lui. Sa philosophie manichéenne c’est avec nous ou contre nous tandis que la cible principale de sa haine fut un grand homme que lui et ses coreligionnaires s’activent en vain à salir la mémoire. Mais comment la bave du crapaud peut-elle atteindre la blanche colombe ! Peut être sauf dans le cerveau d’un aigri et malade qui s’ignore.
La liste continue avec
5) le journaleux et écrivaillon égaré, qui clochardise chez les Gaulois. Il aime ruminer ses saloperies à partir de son insalubre cervelle de moineau. Et encore,
6) Un autre quinquagénaire qui se croit rusé et doué lorsqu’il abuse de métaphores dans ses pamphlets qui cachent mal sa haine. Plus hypocrite que lui, tu meurs. Est-ce que c’est vrai qu’il est neutre ? Faux et archi faux. Quand on est neutre entre deux personnes, on ne dénigre pas l’un pour encenser l’autre.
C’est son droit de supporter son mentor mais qu’il ne nous prenne pas pour des moutons de panurges. On sait lire entre les lignes.
Le champion de ces lucifériens devrait avoir honte d’eux. Ils ne rendent service ni à lui, ni a la nation. Leurs longues décennies de haine, de mensonges grossiers et de tentatives de travestissement de l’histoire, n’ont abouti à rien. La haine qui les occupe les a rendu obtus, aveugles, sourds et stupidement trop bavards. A chaque fois qu’ils écrivent, c’est pour sortir des âneries que même un néandertalien ne se serait pas permises. Plus sourds et aveugles qu’eux tu meurs. Ils n’écoutent et n’entendent pas quand on leur dit et redit que le disque de la mythomanie s’est rayé à l’usage et n’intéresse plus aucun auditeur sérieux. A jouer le même disque tout le temps, la musique est devenue un bruit assourdissant.
Y’en a marre, les auditeurs sont étourdis et indisposés par le tintamarre. Entendons nous bien, nous n’avons pas à faire à une ethnie. On a à faire à quelques immigrés égarés qui ne font la fierté d’aucune ethnie.
Ce groupe tente d’aligner presque tous les jeunes lettrés qu’ils peuvent tromper, derrière une ‘’cause’’ ethnique, ce qui sape déjà assez, la stratégie électorale d’un candidat qui a le malheur de trainer trop de casseroles.
Si les jeunes écoutent ces égoïstes parigos ils souffriront du même mal intérieur qu’eux -le complexe d’infériorité qui pousse ces gens, avant de passer de vie à trépas, à faire le maximum de jeunes frères adeptes autour de leur credo -communautariser au maximum la partie de la Guinée dont ils sont originaires, à seule et inatteignable fin de recréer un système social, mort pour avoir atteint ses limites.Le discours reste le même, et il est axé sur l’ethnie, la victimisation éternelle, la stigmatisation, le mépris des autres, l’instrumentalisation abusive de certaines réalités de l’histoire pour se présenter comme les seuls ou les super souffre-douleurs des violences politiques du pays. Tout cela est faux, archi faux. Puisqu’en dehors de quelques épisodes politiques particulièrement pénibles pour des cadres peuls, c’est toute la guinée qui a subi nos dictatures.
Ces gens sont des diviseurs, ils ont passé des années à égratigner des gens qui ne sont pas comme eux et lorsque les victimes de leurs attaques expriment leur ras de bol, c’est encore eux qui crient à la foulaphobie.
Mais personne n’est dupe, car les peuls de Guinée savent que personne ne les déteste autrement.
Si Eugene Camara s’appelait Eugene Diallo, Sow etc…, les peuls dans leur écrasante majorité n’allaient rien dire, mais ces pyromanes malades n’allaient pas se gêner de dire qu’il a été récusé parce qu’il est peul.
C’est en cela que ces individus sont dangereux pour la Guinée.
Les jeunes doivent refuser de se prêter à ces manœuvres goebbelsiennes.
Jeunes Peul, Sousou, Malinke et jeunes de la forêt, vous partagez le même destin, le même passé, le même présent et vous êtes condamnés à partager le même futur, refusez donc que des hommes égoïstes qui sont à la fin de leur vie ne gâchent votre patrimoine commun. Le dessein de la matoiserie au centre de la sempiternelle propagande de ces tarés est faire passer la paisible et innocente communauté peule pour l’éternelle persécutée et haïe en Guinée au nom d’une certaine hégémonie aristocratique. C'est-à-dire un système social qui à prospéré rapidement entre le 18ème et le 19ème siècle et qui a disparu non sans avoir connu son éclat. Mais tout cela est de l’Histoire.
Beaucoup d’autres glorieuses civilisations Africaines ont connu le même destin. Si ce genre de système ne s’est pas inscrit dans la logique d’une continuité générationnelle, ce n’est pas la faute d’un individu ou d’une communauté. C’est comme ça que l’histoire évolue. Elle ne peut se répéter. Pouvons-nous seulement imaginer, que des grecs tentent au 21ème siècle, de recréer leurs empires d’antan, sans se heurter à des écueils ?…
Jeunes guinéens, le passé, c’est le passé ! Il faut se tourner vers l’avenir commun.
Il n’y aura plus de royaume mandingue, plus de théocratie foutanienne !
Tout cela est un lointain souvenir. Le monde ne connaitra plus un autre Napoléon, Hitler, Alexandre le Grand, et certainement jamais un autre Sékou Touré, El hadj Oumar Tall, Karamoko Alpha, Soundjata Keita, Samori Touré, Soumangourou Kanté etc…
Jeunes guinéens, une dernière question :
Pourquoi gaspiller vos efforts sur le passé, alors qu’ils seraient mieux dépensés dans la construction d’un avenir commun.
Jeune guinéen, quelle que soit ton ethnie, tu dois te libérer du carcan de l’ethnocentrisme que veulent t’imposer certains aigris.